L'ONU milite pour faire supprimer les mots "mari" et "femme"

Publié le 9 Juin 2020

Frappant au cœur de la famille naturelle, l'Organisation des Nations Unies demande instamment l'élimination des mots mêmes qui décrivent les rôles matrimoniaux sur lesquels la société est fondée.

Frappant au cœur de la famille naturelle, l'Organisation des Nations Unies demande instamment l'élimination des mots mêmes qui décrivent les rôles matrimoniaux sur lesquels la société est fondée.

Frappant au cœur de la famille naturelle, les Nations Unies demandent instamment l’élimination des mots mêmes qui décrivent les rôles matrimoniaux sur lesquels la société est fondée: « mari » et « femme ». Sous prétexte de « créer un monde plus égalitaire en utilisant un langage non genré », l’ONU a déclaré dans un récent tweet – d’une agence dont le nom est tout sauf « non genré »: « UN Women » [ONU Femmes] – que divers termes traditionnels devraient être remplacés. Par exemple: « nom de jeune fille » par « nom de famille »; « Petit ami » et « petite amie » par « partenaire »; et, plus inquiétant, « mari » et « femme » par « conjoint ».

Que l’ONU utilise son prestige sur la scène mondiale pour tenter de supprimer les mots décrivant les rôles clés dans la famille naturelle est une manifestation révélatrice de ce que Gabriele Kuby – sociologue de renom et conférencière à notre Congrès mondial des familles – appelle la « déconstruction de l’identité sexuelle masculine et féminine et la destruction de la liberté au nom de la liberté » qui en résulte dans ce qui est devenu une « révolution sexuelle mondiale [qui] affecte tout le monde – hommes et femmes, jeunes et vieux, notre existence personnelle et l’avenir de la société… Le bien est appelé mal, et le mal est appelé bien. »

Alors que la révolution fait rage dans le monde, explique Kuby, elle « augmente de jour en jour sa vitesse et la férocité de son attaque contre les libertés démocratiques… Des individus et des ONG influents dirigent sa mise en œuvre mondiale. » Et le résultat final est clair: « Le mariage et la famille seront dissous  et remplacés par  des relations arbitraires entre deux personnes ou plus » soutenues par une subvention gouvernementale. Si tout cela semble trop bizarre pour être vrai, il suffit de rappeler ce que le véhicule de propagande de Soros, OpenDemocracy, a publié le 24 mars: « Nous méritons mieux que la famille. Et la crise du coronavirus est un excellent moment pour pratiquer l’abolition. » Le titre de l’article  (en anglais) subversif était clair: « La crise du coronavirus montre qu’il est temps d’abolir la famille. »

 

S’opposant courageusement à cette révolution destructrice, IOF [International Organization for the Family, organisation internationale pour la famille] unit et équipe les dirigeants du monde entier, alors que nous défendons ensemble la famille, que nous déclarons être « une communauté universelle fondée sur l’union conjugale d’un homme et d’une femme , fondement ultime de toute civilisation connue de l’histoire  et qui demeure toujours  le fondement de la société, la force de nos nations et l’espoir de l’humanité ». Cette vérité intemporelle a été soulignée par Confucius – salué par l’historien Will Durant comme le plus grand penseur de l’histoire – qui a insisté sur le fait que le monde ne peut pas être mis en ordre sans d’abord mettre en ordre la famille.

Et lorsqu’on lui a demandé ce qu’il ferait s’il devenait chef d’Etat, Confucius aurait déclaré qu’il « rectifierait d’abord les noms » pour que les mots correspondent à la réalité – ou, comme on le cite le plus souvent: « Le début de la sagesse est d’appeler les choses par leur propre nom. » IOF célèbre et proclame avec audace les rôles – et titres – irremplaçables du mari et de la femme, unis dans leur égalité et uniques dans leur complémentarité, qui remplissent leurs rôles respectifs divinement ordonnés au profit de leurs enfants et de la société.

 

Romains 1.22-28 : "Ils se vantent d'être sages, mais ils sont devenus fous (...), eux qui ont remplacé la vérité de Dieu par le mensonge (...)

C'est pour cette raison que Dieu les a livrés à des passions déshonorantes : leurs femmes ont remplacé les rapports sexuels naturels par des relations contre nature ;

 de même, les hommes ont abandonné les rapports naturels avec la femme et se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres ; ils ont commis homme avec homme des actes scandaleux et ont reçu en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.

 Comme ils n'ont pas jugé bon de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur intelligence déréglée, de sorte qu'ils commettent des actes indignes."

 

 

sources : E. Douglas Clark pour ifamnews.com/fr

opendemocracy.net

Rédigé par PERSCH Emmanuel

Publié dans #signes des temps

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